Des heures durant, blottis l’un contre l’autre, dans d’incessantes caresses, le temps semble comme suspendu. Au creux de mes bras rien de mal ne peut t’arriver. Ma main court sur toi comme une brise légére et mutine. Ce petit courant d’air à cinq doigts te fait frissonner, je te sens te serrer encore plus fort contre mon corps. Tes seins s’écrasent sur mon torse, je sens aussi ce vent léger me parcourir. Ce sont ces instants que l’on voudrait voir durer pour l’éternité. En amour la tendresse peut parfois surpasser la fougue.
Dommage, personne dans mes bras...